Violaine Caminade de Schuytter, sophrologue  (Le Vésinet)

Je n’ai pas toujours été sophrologue. J’ai d'abord été professeure de français agrégée en lycée pendant presque 15 ans. Ma bonne connaissance du milieu scolaire est donc un atout pour accompagner des adolescents ayant des problèmes de stress, d’anxiété, des difficultés d’apprentissage.

Ce que je préférais dans ce métier, à part transmettre mon goût de la littérature, c’était quand je réussissais à donner confiance aux jeunes. Le métier de sophrologue est idéal pour ceci.

J’ai vécu 11 ans à l’étranger (New York, Hong Kong et Copenhague). Cette expérience d’expatriée m’a aussi appris à m’adapter. Je sais ce que signifient les changements de vie, la nécessité de se réinventer.

Passionnée de cinéma par goût du partage de l’émotion, j’ai par ailleurs fait une thèse sur un cinéaste de la Nouvelle Vague. Cela m'a permis ensuite entre autres d'écrire dans des revues de cinéma. C'est une façon à chaque fois de se mettre à l'écoute d'un cinéaste, de chercher à comprendre son univers.

Lorsque j’ai eu la mauvaise surprise d'avoir un cancer du sein, j’ai fait des séances de sophrologie pour accompagner mon traitement. Si j’ai pu traverser le plus sereinement possible cette période, c’est donc aussi grâce, entre autres, à ce coup de pouce sophrologique. Car un coup de pouce peut faire pencher la balance du bon côté et être déterminant.

Petit à petit l’idée a donc cheminé en moi de me former à cette méthode afin de pouvoir aider d’autres personnes à aller mieux. Car on peut infléchir le cours de sa vie en se changeant soi.

J’ai été formée à l’Institut de Formation à la Sophrologie IFS de Paris, dirigée par Catherine Aliotta, qui est également Présidente de la Chambre syndicale de sophrologie. Je suis certifiée RNCP (qualification reconnue par l’Etat) par l'IFS depuis le 04/03/2024.